La gifle
Ce n'était pas du cinéma. Ni une anticipation en négatif la veille de la fête des Pères. Mais la petite frimousse de la fillette de moins de 2 ans a gardé longtemps sur sa joue la trace de la gifle asséné par son père. La fillette n'a pas pleuré sous le coup , ce qui laisse à penser qu'ils doivent être fréquents. Sa maman en a rajouté verbalement. La cause de tout cela nous a échappé si ce n'est d'avoir entendu juste avant la fillette réclamé un peu fort je ne sais quoi.
Mon épouse - qui a bien vu toute la scène alors que je n'ai seulement vu la joue meurtrie - et moi même avons été très choqué de cette scène en public dans un café-pub plutôt chic du centre ville. Profondément mal à l'aise nous étions prêts à intervenir si la chose se reproduisait.
La violence faite aux enfants est dans l'abstrait totalement condamnable. Quand elle se passe sous vos yeux, en public, c'est insupportable.
Mon épouse - qui a bien vu toute la scène alors que je n'ai seulement vu la joue meurtrie - et moi même avons été très choqué de cette scène en public dans un café-pub plutôt chic du centre ville. Profondément mal à l'aise nous étions prêts à intervenir si la chose se reproduisait.
La violence faite aux enfants est dans l'abstrait totalement condamnable. Quand elle se passe sous vos yeux, en public, c'est insupportable.
Libellés : fête des Pères, La gifle, violence aux enfants
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