Sophie Bouillon prix Albert Londres 2009
Le prix Albert Londres, le plus prestigieux de la presse française a été attribué a une très jeune journaliste de 25 ans, Sophie Bouillon pour un reportage - courageux - sur le Zimbawe de Robert Mugalé, paru fin 2008 dans la revue XXI. Installée en Afrique du Sud elle collabore à La Croix et à la radio suisse TSR et à la radio canadienne.
Sur le site LaCroix.fr
Sophie Bouillon, collaboratrice de « La Croix », reçoit le prix Albert-Londres
C’est une jeune journaliste talentueuse qu’a distinguée mardi 12 mai le prix Albert-Londres. Ce prix récompense depuis 1933 un grand reporter de presse écrite de moins de 40 ans « digne de ses aînés ». Sophie Bouillon , 24 ans, n’a pas attendu pour démontrer ses qualités de journaliste, dont les lecteurs de La Croix ont eu la primeur à travers ses reportages au Zimbabwe (lire une sélection de ses reportages dans la Croix). Tout juste diplômée de l’École supérieure de journalisme (ESJ) de Lille, cette Franc-Comtoise a mis le cap sur ce pays d’Afrique australe où les journalistes étrangers sont persona non grata. Publié à l’automne dernier dans la revue XXI, son récit du retour au pays d’un jeune exilé, intitulé « Bienvenue chez Mugabe ! », a séduit le jury du prix Albert-Londres.
Journaliste douée d’une grande sensibilité C’est à l’occasion d’un volontariat en Afrique du Sud en 2005 que Sophie Bouillon a pour la première fois découvert cette ancienne colonie britannique qui, après avoir joué le rôle de grenier à blé de la région, a progressivement plongé dans le chaos et la famine. Des séjours au long cours menés à partir du début de 2008 lui feront découvrir – et parfois endurer elle-même – les difficiles conditions de vie d’une population laminée par la pauvreté et l’oppression. Malgré les risques et la peur omniprésente, cette journaliste douée d’une grande sensibilité a continué à se rendre régulièrement au Zimbabwe, notamment pour la Radio Suisse Romande et La Croix (son dernier reportage est paru dans notre édition du 4 mai). Désormais basée à Johannesburg, Sophie Bouillon voit dans ce prix l’occasion d’attirer l’attention sur un pays qui est aujourd’hui en pleine transition politique grâce à la mise en place d’un gouvernement d’union. La rédaction de La Croix se réjouit de voir sa correspondante ainsi récompensée.
Laurent d'ERSU
C’est une jeune journaliste talentueuse qu’a distinguée mardi 12 mai le prix Albert-Londres. Ce prix récompense depuis 1933 un grand reporter de presse écrite de moins de 40 ans « digne de ses aînés ». Sophie Bouillon , 24 ans, n’a pas attendu pour démontrer ses qualités de journaliste, dont les lecteurs de La Croix ont eu la primeur à travers ses reportages au Zimbabwe (lire une sélection de ses reportages dans la Croix). Tout juste diplômée de l’École supérieure de journalisme (ESJ) de Lille, cette Franc-Comtoise a mis le cap sur ce pays d’Afrique australe où les journalistes étrangers sont persona non grata. Publié à l’automne dernier dans la revue XXI, son récit du retour au pays d’un jeune exilé, intitulé « Bienvenue chez Mugabe ! », a séduit le jury du prix Albert-Londres.
Journaliste douée d’une grande sensibilité C’est à l’occasion d’un volontariat en Afrique du Sud en 2005 que Sophie Bouillon a pour la première fois découvert cette ancienne colonie britannique qui, après avoir joué le rôle de grenier à blé de la région, a progressivement plongé dans le chaos et la famine. Des séjours au long cours menés à partir du début de 2008 lui feront découvrir – et parfois endurer elle-même – les difficiles conditions de vie d’une population laminée par la pauvreté et l’oppression. Malgré les risques et la peur omniprésente, cette journaliste douée d’une grande sensibilité a continué à se rendre régulièrement au Zimbabwe, notamment pour la Radio Suisse Romande et La Croix (son dernier reportage est paru dans notre édition du 4 mai). Désormais basée à Johannesburg, Sophie Bouillon voit dans ce prix l’occasion d’attirer l’attention sur un pays qui est aujourd’hui en pleine transition politique grâce à la mise en place d’un gouvernement d’union. La rédaction de La Croix se réjouit de voir sa correspondante ainsi récompensée.
Laurent d'ERSU
Libellés : Albert Londres, Mugabé, revue XXI, Sophie Bouillon
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