Kennedy n'est pas mort ...
A propos de la découverte d'un film inédit sur l'assassinat de Kennedy en novembre 63, un site internet proposait un questionnaire pour savoir si cet évènement avait été, ou non, historiquement important. Il y avait toutefois une autre réponse possible " JF Kennedy n'est pas mort" et 17% des visiteurs avaient répondu oui !!!
Voilà bien une illustration d'un commentaire récent lu dans Le Monde (25.08.06) à propos d'un livre anglais " Vérité et Véracité " Je cite :
Plus nous avons d'images, de nouvelles, de commentaires, moins nous avons d'informations. Saturés de propagandes, de mauvaise foi de toute sorte, de points de vue inconciliables, nous finissons souvent par ne plus savoir ce qui est vrai. Pire: nous finissons par ne plus nous en soucier, par perdre de vue qu'il y a des faits, des affirmations exactes,et d'autres fausses,des récits sincères et d'autres mensongers. On voit s'installer une sorte d'indifférence à la vérité, de doute généralisé. Mot d'ordre : chacun voit midi à sa porte, et croit ce que bon lui semble. A cette tolérance molle correspond une conception stupide de l'objectivité : donner un temps d'antenne égal à tous les points de vue.
Dans le livre en question le philosophe Bernard Williams, propose de réhabiliter non seulement l'idée de vérité mais aussi les vertus d'exactitudes et de sincérité qui lui sont liées.
Constater les événements qui se produisent, les rapporter avec exactitude, les transmettre avec sincérité, voilà dit-il en substance, des activités de base de la communication humaine, sans lesquelles aucune communauté ne peut survivre ni progresser.
Voilà bien une illustration d'un commentaire récent lu dans Le Monde (25.08.06) à propos d'un livre anglais " Vérité et Véracité " Je cite :
Plus nous avons d'images, de nouvelles, de commentaires, moins nous avons d'informations. Saturés de propagandes, de mauvaise foi de toute sorte, de points de vue inconciliables, nous finissons souvent par ne plus savoir ce qui est vrai. Pire: nous finissons par ne plus nous en soucier, par perdre de vue qu'il y a des faits, des affirmations exactes,et d'autres fausses,des récits sincères et d'autres mensongers. On voit s'installer une sorte d'indifférence à la vérité, de doute généralisé. Mot d'ordre : chacun voit midi à sa porte, et croit ce que bon lui semble. A cette tolérance molle correspond une conception stupide de l'objectivité : donner un temps d'antenne égal à tous les points de vue.
Dans le livre en question le philosophe Bernard Williams, propose de réhabiliter non seulement l'idée de vérité mais aussi les vertus d'exactitudes et de sincérité qui lui sont liées.
Constater les événements qui se produisent, les rapporter avec exactitude, les transmettre avec sincérité, voilà dit-il en substance, des activités de base de la communication humaine, sans lesquelles aucune communauté ne peut survivre ni progresser.
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