Meuglements pathétiques
On peut être urbain en fonction des statistiques - plus précisément rurbain - et être proche de la nature. Au sens propre et au sens figuré. Cette proximité fait que j'entends en ce moment, depuis un champs voisin, les meuglements pathétiques des vaches qui viennent d'être séparés de leur veau. C'est un appel à la cantonade, sans écho, hélas. L'appel se renouvelle de nombreuses fois dans la journée et même la nuit. Chaque année la même chose. Illustration de la souffrance animale, qui existe, sans être suffisamment prise en compte. Ce sera certainement une question qui évoluera au cours de ce siècle.
Personnellement cela ne m'a pas rendu végétarien, même si parfois en voyant cette -belle - viande à l'étalage ou dans mon assiette, je me dis " Est-ce bien nécessaire ? Pourquoi ne pas s'en passer ?"
Personnellement cela ne m'a pas rendu végétarien, même si parfois en voyant cette -belle - viande à l'étalage ou dans mon assiette, je me dis " Est-ce bien nécessaire ? Pourquoi ne pas s'en passer ?"
Libellés : la vache et le veau, souffrance animale, végétarien
1 Comments:
"Victor" , tu es un faux rurbain , ta jeunesse a été "sonorisée" par les bruits des vaches de ton voisin le "père Favreau", et les cloches de l'église, en face chez toi...
Tu as encore de la chance , que ce ne soit pas les " meuglements pathétiques" du Muezzin appelant à la prière ..cinq fois par jour !!
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