Notre Dame de Paris, Notre Drame de Paris, le maillon faible
Notre Drame de Paris, comme le titrait joliment Libération le 16 avril au lendemain de cet incendie qui nous a frappé de stupeur, d'incrédulité et d'impuissance en voyant les ravages que provoquait l'incendie dans la charpente de l'édifice faite de 1300 chênes datant du moyen-âge. La chute de la flèche dans le brasier marquera nos mémoires comme les décombres métalliques, fumantes, des tours jumelles du Word Trade Center en septembre 2001.
Beaucoup de chefs-d'oeuvre ont été sauvés ou protégés et par chance la météo est depuis lundi favorable. les grandes marées du moment n'ont pas été accompagnées de pluies et de vents violents comme souvent. Beaucoup de chance dans ce malheur : des miracles diront certains.
L'analyse de la chronologie montre que la première alerte a été donnée vers 18h20 - 18h30 et que les personnes chargée d'évaluer la nature de l'incident ne seraient pas allées au bon endroit. Une demi heure plus tard lors de la seconde alerte à 18 h 50, il était trop tard, le feu avait atteint la dimension critique qui le rendait non maîtrisable. Je ne peux m'empêcher de faire le parallèle dans le manque de vigilance, avec l'incendie du parlement de Bretagne à Rennes en 1994. Des manifestations de marins avaient lieu autour du monument et notamment l'utilisation de fusées de détresse, provoquant le déclenchement du système d'alerte. Leur répétition, sans cause apparente, aurait conduit, selon la presse, le responsable de la sécurité - le concierge ? - a débrancher le dispositif. Pendant ce temps une fusée commençait à se consumer sut la toiture . On connaît la suite.
N'y a-t-il pas dans nos systèmes de sécurité une très grande sophistication, une grande marge de principe de précaution, qui incite à dire " Encore une fausse alerte !" . Or le temps est précieux, les processus d'incendies sont irréversibles. Il y a manifestement un maillon faible dans le dispositif.
Beaucoup de chefs-d'oeuvre ont été sauvés ou protégés et par chance la météo est depuis lundi favorable. les grandes marées du moment n'ont pas été accompagnées de pluies et de vents violents comme souvent. Beaucoup de chance dans ce malheur : des miracles diront certains.
L'analyse de la chronologie montre que la première alerte a été donnée vers 18h20 - 18h30 et que les personnes chargée d'évaluer la nature de l'incident ne seraient pas allées au bon endroit. Une demi heure plus tard lors de la seconde alerte à 18 h 50, il était trop tard, le feu avait atteint la dimension critique qui le rendait non maîtrisable. Je ne peux m'empêcher de faire le parallèle dans le manque de vigilance, avec l'incendie du parlement de Bretagne à Rennes en 1994. Des manifestations de marins avaient lieu autour du monument et notamment l'utilisation de fusées de détresse, provoquant le déclenchement du système d'alerte. Leur répétition, sans cause apparente, aurait conduit, selon la presse, le responsable de la sécurité - le concierge ? - a débrancher le dispositif. Pendant ce temps une fusée commençait à se consumer sut la toiture . On connaît la suite.
N'y a-t-il pas dans nos systèmes de sécurité une très grande sophistication, une grande marge de principe de précaution, qui incite à dire " Encore une fausse alerte !" . Or le temps est précieux, les processus d'incendies sont irréversibles. Il y a manifestement un maillon faible dans le dispositif.
Libellés : Drame de Paris, Notre Dame de Paris, Parlement de Bretagne, système de sécurité, World Trade Center
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