Kopa, Fontaine, Vincent, Jonquet...
Raymond KOPA est mort à 85 ans dans ce Maine et Loire dont il était originaire avec ses racines polonaises. Pour les gens de ma génération c'est le plus grand footballeur qui disparaît.
Tout ceux qui se souviennent de la Coupe du monde en Suède en 1958, ont en mémoire la formidable équipe de France de l'époque pour laquelle Just Fontaine avait marqué 13 buts ( le record tient toujours). Il a donné l'explication " Raymond percutait, dribblait, dribblait et me faisait la passe décisive sur un plateau".
Le match de 1/2 finale contre le Brésil, avec le très jeune Pelé, reste dans toute les mémoires, comme la demi-finale de 1982 contre l'Allemagne à Séville. Devant les écrans un peu flou, en noir et blanc, nous avions enragé de voir la France perdre 5 à 2, avec comme à Séville, l'injustice et le drame de perdre en première mi-temps, notre arrière central Robert Jonquet, victime d'une fracture du péroné et qui, à l'époque, ne pouvait être remplacé... Nous finîmes 3è en ayant été l'équipe la plus efficace et la plus spectaculaire.
A la différence de beaucoup d'attaquants "modernes" Raymond Kopa attaquait les défenses, balle au pied, pour dribbler, prendre le meilleur sur les défenseurs. Un peu comme les rugbymans vont au contact pour progresser. Le souci n'était pas la maîtrise du ballon comme aujourd'hui, où peut être 2/3 des passes se font en retrait. C'était spectaculaire et enthousiasmant. S'il fallait trouver un joueur qui se rapproche de Kopa dans le football d'aujourd'hui, c'est sans doute Lionel Messi du Barça un talent nettement au-dessus des autres.
Tout ceux qui se souviennent de la Coupe du monde en Suède en 1958, ont en mémoire la formidable équipe de France de l'époque pour laquelle Just Fontaine avait marqué 13 buts ( le record tient toujours). Il a donné l'explication " Raymond percutait, dribblait, dribblait et me faisait la passe décisive sur un plateau".
Le match de 1/2 finale contre le Brésil, avec le très jeune Pelé, reste dans toute les mémoires, comme la demi-finale de 1982 contre l'Allemagne à Séville. Devant les écrans un peu flou, en noir et blanc, nous avions enragé de voir la France perdre 5 à 2, avec comme à Séville, l'injustice et le drame de perdre en première mi-temps, notre arrière central Robert Jonquet, victime d'une fracture du péroné et qui, à l'époque, ne pouvait être remplacé... Nous finîmes 3è en ayant été l'équipe la plus efficace et la plus spectaculaire.
A la différence de beaucoup d'attaquants "modernes" Raymond Kopa attaquait les défenses, balle au pied, pour dribbler, prendre le meilleur sur les défenseurs. Un peu comme les rugbymans vont au contact pour progresser. Le souci n'était pas la maîtrise du ballon comme aujourd'hui, où peut être 2/3 des passes se font en retrait. C'était spectaculaire et enthousiasmant. S'il fallait trouver un joueur qui se rapproche de Kopa dans le football d'aujourd'hui, c'est sans doute Lionel Messi du Barça un talent nettement au-dessus des autres.
Libellés : Coupe du Monde 1958, Fontaine, France Brésil, Jacquet, Kopa, Lionel Messi, Pelé, Vincent
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