Rwanda : La démocratie selon Paul Kagamé
Le Monde du 21 mai a consacré plusieurs textes au Rwanda dont une longue interview de Paul Kagamé Président du pays et au pouvoir depuis 1994 à l'issue du génocide. Il a été réélu en 2017 avec 98,8% des voix et a obtenu la possibilité de se maintenir au pouvoir jusqu'en 2034.
La très grande majorité de la presse française ignorant de très nombreux livres ou publications anglo-saxonnes, rallie les points de vue de Kagamé sur le génocide et l'histoire rwandaise. C'est le cas de Pierre Lepidi et Piotr Smolar les journalistes du Monde qui ont fait cette interview, pourtant quelque peu malmenés par certaines réponses du président rwandais.
Extraits
Plus loin à propos de Kizito : "On dit qu'il est mort parce qu'il critiquait le pouvoir. Des ONG des droits de l'homme et des journalistes font de moi un tueur. Mais si, si j'étais un tueur, beaucoup de gens ne seraient pas en vie.(...)
Dans le même journal Bernard Cazeneuve ancien premier ministre de François Hollande exprime son point de vue sur le rapport Duclert dont il conteste les mots " lourdes et accablantes" concernant les responsabilités de la France, tout en considérant qu'il " est honnête sur bien aspects"." Le rapport Duclert est une contribution à la vérité au Rwanda, il n'est pas la vérité".
A la fin de l'interview, il formule des questions, des interrogations qui, a mes yeux sont essentielles sur le génocide :
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Libellés : attentat 6 avril 1994, Bernard Cazeneuve, Chanteur Kizito, démocratie, droits de l'Homme, génocide, Le Monde, Paul Kagame, Rwanda
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