Le Clezio prix Nobel de littérature
J'ai toujours considéré Jean-Marie Le Clézio comme un auteur et une personnalité fascinante. Cela ne date pas d'hier. Je viens de retrouver dans ma bibliothèque l'édition originale du Procès verbal chez Gallimard, que j'avais acquis en 1963 lorsqu'il avait obtenu le prix Renaudot. Le livre est jauni, présenté avec les pages découpées, et donne un sentiment étrange. Une nouvelle ( re ) lecture en perpective, alors que les livres s'entassent un peu partout et que j'éprouve bien des difficultés à les finir...
Mais Le Clézio c'est la classe : le secrétaire de l'académie suédoise dit même de lui que c'est le Chateaubriand du XXème siècle. Et puis c'est ma génération, avec en commun, plusieurs années en Afrique où son père d'origine anglaise, était médecin de brousse ( à propos de la colonisation, il cite volontiers Ganghi " La colonisation a été négative, avec parfois des choses positives " ). L'attention que porte Le Clézio aux êtres et à la nature, est hors du temps.
Mais Le Clézio c'est la classe : le secrétaire de l'académie suédoise dit même de lui que c'est le Chateaubriand du XXème siècle. Et puis c'est ma génération, avec en commun, plusieurs années en Afrique où son père d'origine anglaise, était médecin de brousse ( à propos de la colonisation, il cite volontiers Ganghi " La colonisation a été négative, avec parfois des choses positives " ). L'attention que porte Le Clézio aux êtres et à la nature, est hors du temps.
Libellés : colonisation, Le Clézio, Nobel
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