Rocard , le contre exemple et la frustation
J'extrais de l'édito du Monde du 5 juillet, rendant hommage à Michel Rocard sous le titre " Le contre exemple", le dernier paragraphe qui correspond totalement à ce que je pense. J'ajouterai simplement au chapître de la frustration, celle qu'il a certainement ressentie dans sa vie politique, mais qui lui a donné en contrepartie une énergie fantastique jusqu'aux dernier jours de sa vie.
Libellés : Le Monde, Michel Rocard
1 Comments:
OUI il m'a fait aimer la politique, sans m'entrainer dans aucun parti , ma farouche liberté s'y opposait...mais , j'ai cependant un reproche à faire à Michel Rocard, d'avoir accepté d'être le premier ministre d'un François Mitterrand
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