8 juillet 2014

EdF fin de partie

L'Equipe de France de football est rentrée à Paris après son élimination en quart par l'Allemagne. Un match terne qui ne passera pas à la postérité. Comme nous sommes habitués au service minimum, on entend dire " Mission accomplie" "Objectif atteint" et beaucoup de congratulations sur cette équipe d'avenir, etc.
Le coatching de Didier Deschamps pour ce match a été lamentable. Alors que nous sommes menés par 1-0 depuis le premier quart d'heure, le premier changement français pour les 25 dernières minutes concerne un défenseur, Sakko diminué depuis plusieurs matchs sur blessure, et qui n'aurait jamais du être aligné. Puis l'on fait sortir Cabaye qui était plutôt bon pour faire rentrer Remy ( pourquoi faire?) et cerise sur le gâteau, Valbuena à la 85è remplacé par Giroud alors que ces deux  là vont très bien ensemble, la plupart des buts de Giroud venant de bons centres ou corners du "petit marseillais".
Bref, nous avons vu les limites de ce groupe qui a eu la chance d'un tirage au sort favorable, d'un 1/8 plutôt facile et qui se fait éliminer sans gloire. Avec l'entêtement de faire jouer à Karim Benzema tous les matchs, même quand il ne voulait pas jouer et "boudait" sur le côté gauche. Giroud en a fait les frais. Alors qu'il avait une forte envie de jouer, qu'il a marqué contre les Suisse avant les 15 minutes d'une superbe tête ( contre le Honduras il a fallu attendre 45 munites et un pénalty...). J'aurais bien voulu voir, par exemple contre l'Equateur, une association Griezmann, Giroud, Valbuena. Je suis sûr que l'expérience aurait été concluante, et aurait permis à Benzema de se reposer.
J'ai lu avec intérêt cette analyse dans Ouest-France. Je la partage.

Comme je l'ai lu dans un tweet de Jean-Marie Biette :
Avant les bleus descendaient du bus
Maintenant, ils s'arrêtent en car !


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2 Comments:

Anonymous Gérard said...

Pour les journalistes comme pour nous spectateurs ou téléspectateurs, il est plus facile d'avoir raison à posteriori...l'analyse est pertinente après coup...mais la vie au sein d'un groupe donne des raisons au sélectionneur que la raison (la nôtre) ignore.

Gérard

09 juillet, 2014  
Anonymous Gérard said...

Pour les journalistes comme pour nous spectateurs ou téléspectateurs, il est plus facile d'avoir raison à posteriori...l'analyse est pertinente après coup...mais la vie au sein d'un groupe donne des raisons au sélectionneur que la raison (la nôtre) ignore.

Gérard

09 juillet, 2014  

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