Clichés de mode : une expo super active !

C'est le printemps !

Enfer ou paradis, le vert explose ...

Denis Muzet invité de l'Observatoire universitaire des médias

A la sortie de notre déjeuner de presse habituel, Denis Muzet se prête volontiers à la photo.

Sociologue, grand spécialiste des médias et de la communication publique, sa conférence a été brillantissime ! Des échos chez mon jeune confrère, particulièrement motivé Geoffroy Barre www.Revolution80.fr .
Une formule à propos des présidentielles : Sarko : les serments; Ségo : les sermons.
Il faut lire ses bouquins : La mal Info et La croyance et la conviction ( ed. de l'Aube )

Golf : du 4 étoiles au street golf

Lorsque dans les années 80, nous avons lancé, dans notre région, avec quelques collègues d’entreprises et d’administrations, le golf corporatif et associatif, le golf était pour beaucoup une terre inconnue, chère et snob. Depuis les choses ont bien changé : le nombre des adeptes et des clubs a été multiplié par dix, voire davantage, l’offre des parcours est diversifiée ainsi que les conditions d’accès. Les « corpos » et associatifs sont devenus des partenaires à part entière dans toutes les instances du golf. Comme dans l’hôtellerie, il n’y a pas que des 4 étoiles, et si les 1 étoile sont encore peu nombreux, il y a beaucoup de 2 étoiles, et l’offre s’est fortement élargie. Certes la haute couture existe, et elle est bien visible, mais le prêt à porter s’est considérablement développé. Des pionniers comme Bill Owen, un Gallois francophile, ont investi certaines banlieues pour faire découvrir à des jeunes ce sport où courtoisie, maîtrise de soi, concentration, et respect de « l’étiquette » sont indispensables. Et aujourd’hui le golf urbain, le « street golf », dans des parcours improvisés en ville, avec un minimum de matériel, montre que l’imagination et la jeunesse ont pleinement investi ce sport. Si l’on ajoute que le golf peut se pratiquer jusqu’aux âges les plus avancés de la vie, cela fait bien des avantages à son actif.

Pourtant dans l’opinion, les à priori n’ont guère évolué. Le négatif l’emporte le plus souvent. Comme dans beaucoup d’autres domaines, les opinions ne sont pas toujours fondées sur la réalité des choses, et cela durera sans doute encore longtemps. Cela n’empêche pas que le mouvement existe et c’est bien ainsi.

Je ne vote pas pour Ford !

Les pubs radio sont rarement géniales, mais il en est d'insupportables !
Dernière en date, celle de Ford associée à la dernière phase de la Champions Ligue de Football. Entendre un pseudo journaliste vous hurler dans les oreilles, au petit matin, des commentaires comparant le choix d'une voiture à une partie de foot, c'est inepte et le degré zéro de la créativité. Quand cessera-t-on de nous prendre pour des débiles ?

Pour l'électrification, on déboise sans état d'âme...

Pas de quartier pour le passage du futur TGV Nantes Les Sables : de toutes les haies ou boisements à moins de 7 mètres des voies il ne reste rien. La terre brûlée est-elle à ce point indispensable ? Merci pour les paysages !



Le maintien d'une petite haie aurait masqué cette laideur ...

Salon du Livre et 1ère assises du 5è pouvoir

L'Usine à St Denis : les blogueurs se parlent dans la vraie vie !

Témoignages intéressants avec Alain Lambert sénateur, Philippe Bilger magistrat, Quitterie Delmas, Tristan Mendès-France et autres.

Roland Dumas, inusable dandy...

Jacques Attali, un bref contact autour de souvenirs communs ( 14è Plaisance ).

France Culture en action : les livres et les présidentielles.

Je progresse avec les illustrations...

Rodolf Landais : une disparition trop brutale

Rodolf Landais, journaliste à France Bleue Loire Océan est décédé hier d'une crise cardiaque en arbitrant un match de foot de jeunes. La nouvelle s'affiche dans les journaux nantais de ce dimanche.
J'ai une pensée empreinte de tristesse pour ce grand professionnel, passionné, qui n'aimait pas la langue de bois. J'ai eu l'occasion l'an dernier de participer avec lui et deux de ses confrères de O.F. et P.O. à l'émission sur les médias de Bertrand Rault " Qu'est-ce qu'on vous sert ?" sur Nantes 7.
Il y excellait dans le rôle de "poil à gratter" qui aime bien parler franchement. Avec causticité et ironie, il aimait bien les coups de coeur et coups de griffe qui avaient animé notre atelier des médias. Nous souhaitions l'inviter à un prochain déjeuner de presse...

Merci Mémona !

La venue de Mémona Hintermann, grand reporter à France 3, pour notre conférence débat de l'Observatoire universitaire des médias, mardi dernier, a été un beau succès : en dépit d'un programme chargé ( France Bleue, et France 3 le matin et midi, + déjeuner de presse ) et des séquelles d'une extinction de voix, elle a animé cette conférence avec un tonus exceptionnel, une grande simplicité, mais aussi beaucoup de conviction et de franchise. Je crois que le public - toujours aussi nombreux - a été largement séduit, et nous n'avions jamais eu une séance de dédicaces aussi longue ( rupture de stock ! ). Il est vrai que son livre Tête haute (JC Lattès ) figure dans les meilleures ventes actuelles des essais.
Geoffroy Barre, que j'ai plaisir à inviter à nos conférences, donne une très bonne tonalité de tout cela sur son blog www.Revolution80.fr ( un vrai blog de pro ! ).

Photo de Mémona Hintermann et de son mari - ancien correspondant du Spiegel à Paris - lors du déjeuner.

On frappe à ma vitre ...

Tac-tac-tac-tac-tac... La vigueur des coups de bec de la mésange charbonnière ou du chardonneret et parfois du rouge-gorge, contre les vitres est vraiment spectaculaire. En vol ou sur le bord de la fenêtre, en faisant " l'ascenseur" selon un circuit bien établi, parfois en couple - les mésanges - c'est avec le printemps, et la proximité boisée, un spectacle fascinant. C'est sans doute, l'effet miroir qui doit jouer devant les surfaces vitrées, et qui stimule leur "agressivité" à l'égard d'un concurrent qui leur ressemble tellement ! La période est à la construction des nids, qui implique une recherche de sécurité maximale, et il faut dissuader les importuns. L'énergie qu'ils y consacrent est considérable, et se traduit accessoirement par des dépôts de fiente au pied des ouvertures qui participent au décor.
Je ne suis pas certain que mon interprétation soit la bonne, mais je crois que ça symbolise bien le printemps !