Chaussée des moines Vertou, l'invasion du minéral

Ce n'est pas la muraille de Fukushima ou le mur de l'Atlantique, mais est-ce l'embellissement du site ?

annoncé sur les panneaux d'information ...

le premier marronnier tronçonné hier, les pavés sont livrés

 

Ouest France Fukushima " Des victimes par milliers"

 Courrier à Ouest France ce jour.

Dans l’édition de ce jour page 3 à propos de la catastrophe de Fukushima après avoir décrit les dégâts provoqués par le tsunami sur la centrale nucléaire, vous écrivez “ Les victimes se comptent par milliers”. Cette présentation laisserait entendre que ce n’est pas le tsunami qui a provoqué la mort de 15 899 personnes et la disparition de 2527 autres ( Cf. La Croix 10 mars “repères”) mais l’accident de la centrale où trois des six réacteurs ont été touchés par la “vague”.  L’information donnée est donc inexacte. L’article faisant référence à une publication de Greenpeace d’hier, on peut penser que cette confusion qui impute les victimes à la centrale et non au tsunami n’est pas due au hasard. C’est dommage pour votre journal qui recherche la rigueur. Et face au débat permanent sur la place du nucléaire dans nos ressources énergétiques.

A proximité de Nantes, le marais de Goulaine en hiver

 De l'eau et de la végétation partout, surplombés par les vignes de la butte de la Roche. Très beau panorama

Covid à l'hôpital : trois morts

 Cela se passe dans une sous-préfecture d'un département des Hauts-de-France en février 2021, Une personne âgée de plus de 90 ans sort d'une hospitalisation en étant porteuse de la Covid, sans le savoir. Avec toutefois des soucis pulmonaires. Elle transmet le virus à son épouse. Tous les deux décèdent de la maladie. Un ami, généreux, âgé de 78 ans qui entre temps, leur a  rendu visite, est également contaminé et décède à son tour. Il laisse seule son épouse lourdement handicapée. Trois morts.

Banalité de la contamination pourrait-on dire. Mais aussi lourde responsabilité de l'institution qui ne doit pas être un lieu de contamination. Comment un pays qui a inscrit le principe de précaution dans sa constitution peut-il accepter que pendant une pandémie de cette ampleur, la vaccination des personnels soignant ne soit pas absolument obligatoire ?