Les Twins Towers jusqu'au 11 septembre 2001 10 h.

Vue d'hélico par le nord le matin

Vue sud des Twins Towers l'après midi de la baie

Vue du ferry ( et un drapeau français ?)

C'était une belle journée d'hiver en février 1998 lors d'un voyage familial dans le "Big Apple".

Beaucoup de ceux qui y sont décédés en septembre 2001 travaillaient sans doute dans les tours lorsque ces photos ont été prises. 

In memoriam. 

 

11 septembre 2001 et les enfants afghans

Tour n°1 du World Trade Center en février 1998. Comme dit la chanson " Haut, c'est haut !"
A propos des suites du 11 septembre 2001 et de notre intervention en Afghanistan, intéressant article dans Ouest-France du 9 septembre, avec le témoignage d'Ashmad Froz, ami d'enfance du commandant Massoud, qui enseigne l'architecture à Rennes. Avec son épouse et une poignée de passionnés, ils ont créé une association qui a construit huit écoles. Il signale aussi, et les médias en parle peu quand il s'agit de l'Afghanistan, qu'il y avait 700 000 enfants scolarisés sous les talibans, principalement des garçons."Aujourd'hui, ils sont 7 millions dont 40% de filles. Et sur 249 députés, 72 sont des femmes."
Notre intervention a aussi permis ce progrès.

Twin Towers 1998

Elles avaient fière allure les deux tours jumelles - les Twin Towers du World Trade Center - dans le soleil lumineux d'une fin d'après midi en février 1998. La photo a été prise alors que nous étions à bord du ferry qui fait la liaison avec Ellis Island en passant à proximité de la statue de la liberté. Une vision superbe du sud de Manhattan, qui montre combien l'attentat du 11 septembre 2001 a défiguré New York.On ne pouvait imaginer destruction plus symbolique au coeur du pouvoir économique. Beaucoup de ceux qui y travaillaient en cette fin d'après-midi, devaient sans doute y être aussi le 11 septembre 2001. Inimaginable...
Autre photo : en helicoptère vers le sud de Manhattan et la statue de la liberté

Afghanistan : décapitations en série

Pourquoi sommes -nous en Afghanistan ? l'actualité récente donne des éléments de réponse. Le 6 juillet sept des vingt-huit démineurs afghans membres d'une ONG afghane qui vise à éviter que les enfants afghans perdent leurs jambes sur des mines anti-personnel, ont été lachement exécutés. Pour cet engagement humanitaire ces sept démineurs ont eu la gorge tranchée. On ignore, mais l'on redoute le sort des vingt-et-un autres.
Les talibans n'ont pas changé. Avant 2001 au pouvoir à Kaboul, ils obligeaient la population à venir assister dans le stade de la ville, aux exécutions des condamnés : égorgements, pendaisons, lapidations, balles à bout portant : les méthodes les plus brutales et les plus odieuses étaient données en spectacle pour maintenir " dans le droit chemin" les populations. Bien peu d'images à l'époque de ces procédés moyenageux. Ceux qui en prenaient risquaient leur vie. Il a fallu l'attentat mortel contre le commandant Massoud et les attentats revendiqués du 11 septembre 2001 pour que l'on découvre les objectifs de ces " fous de Dieu" en guerre contre tous ceux qui ne partagent pas leur fanatisme.
Quitter précipitamment l'Afghanistan c'est offrir aux talibans la possibilité d'accroître facilement leurs zones d'influence et remettre en cause un long et difficile retour vers des pratiques démocratiques et un développement humain ( écoles, santé , équipements) indispensables. Cette mission il faut la mener à son terme : l'armée française y contribue et en paye le prix dans l'honneur.